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Piano and Guitar

Le Président en exercice de l’Union africaine(UA), Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ouvre ce samedi, l’année culturelle de sa mandature à la tête de cette organisation panafricaine. Le Pr Isidore Ndaywel, l’un des membres du panel chargé d’accompagner le mandat de la RDC à la tête de l’Union africaine (UA), l’a annoncé jeudi au cours d’un point de presse qu’il a tenu à Kinshasa. « J’ai l’honneur de vous confirmer que le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi va procéder ce samedi 27 février, à l’ouverture solennel de l’année culturelle de sa mandature de l’Union africaine. Cette mandature est spécialement placée sous les signes de la culture, puisque le thème central est ‘’ arts, culture et patrimoine, leviers pour l’édification de l’Afrique que nous voulons ‘’.
Il y aura donc trois temps forts, dont, l’adresse du Chef de l’Etat, l’hymne de l’Union africaine qui sera chanté pour la première fois par la chorale de l’INA en 3 langues : Français, Lingala et Swahili combinés ; et enfin, il y aura la pièce de théâtre ‘’ une saison au Congo’’ d’Aimée Césaire, qui porte sur le drame de la décolonisation de notre pays autour de Lumumba », a-t-il dit, soulignant que l’année de la culture de l’Union africaine sera marquée par plusieurs activités culturelles. « Nous avons un calendrier d’activités, dont les temps sont, d’abord au mois de mai, à l’occasion de la journée de l’Union africaine, nous voulons organiser une activité forte, autour de la Rumba, cette activité est communément congolaise, que nous partageons avec nos collègues d’en face. Nous allons organiser, en collaboration avec l’hôtel de ville, autour des mois de juin et juillet, le grand festival panafricain de Kinshasa, où nous donnerons l’occasion à l’étalement de toutes les expressions artistiques congolaises.Nous allons également, vers la fin du programme, organiser une autre manifestation festive, à l’occasion de la journée des afro descendants, le 24 janvier de chaque année. Mais surtout, la mandature de la RDC, c’est le lancement, d’un grand prix panafricain de littérature », a-t-il aussi fait savoir.
Cette manifestation culturelle se tiendra avec le concours de l’Institut national des arts (INA), le théâtre national, l’Hôtel de ville de Kinshasa et le Centre Wallonie Bruxelles. Le panel mis en place par le Chef de l’Etat est chargé de l’accompagner durant son mandat à la tête de l’Union africaine, pour l’exercice 2021-2022, rappelle-t-on. ACP
Depuis le début de l’épidémie déclarée le 10 mars 2020, le cumul des cas est de 25.691, dont 25.690 cas confirmés et 1 cas probable. Au total, il y a eu 707 décès et 18.286 personnes guéries.
N.B : Le test Covid-19 est gratuit pour tout le monde en République démocratique du Congo. Cependant, le test des voyageurs est payant à 30 dollars américains.
*Les 23 provinces touchées :
Les données présentées dans ce tableau sont susceptibles de changer ultérieurement, après investigations approfondies et après redistribution des cas et décès dans leurs zones de santé respectives.
La Ministre des Affaires Etrangères de la RDC, Marie NTUMBA NZEZA, s’est entretenue avec les diplomates en poste, à Kinshasa, ce jeudi 25 février 2021, en vue de les communiquer les directives prises par le gouvernement congolais en ce qui concerne la régulation de circuler sur l’ensemble du territoire national.
La Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères de la RDC, a informé à ses interlocuteurs qu’il est désormais, obligatoire de pouvoir contacter son ministère, une semaine avant pour tout déplacement.
Un échantillon représentatif du milieu diplomatique, composé de la MONUSCO, l’Union Européenne, l’Union Africaine, du Brésil, du Portugal, de la Corée du Sud, du Doyen du Corps Diplomatique et de l’Ambassadeur du Congo-Brazzaville, ont participé à cette rencontre. MNK
Le Comité de Conjoncture Economique (CCE) a, à l’issue de sa réunion de conjoncture économique, tenue mercredi 21 février 2021, sous la houlette du Premier Ministre sortant, Sylvestre ILUNGA, constaté une légère accélération du rythme de formation des prix intérieurs, au cours de la troisième semaine du mois de février 2021, le taux d’inflation hebdomadaire se chiffre à 0,097% contre 0,78% la semaine précédente.
Le CCE indique qu’au niveau du marché des changes, on assiste à une stabilité relative à l’indicatif, et une légère appréciation de 0,11% au parallèle du Franc congolais face au dollar. On note également une légère hausse de 0,79% de réserves de change.
La note de conjoncture économique de ce mercredi, concerne la semaine du 15 au 19 février 2021.
Le 19 février l’ambassade de France en RDC a annoncé, la signature d’une convention de 12,5 millions de dollars entre le Ministère des Finances et l’Agence Française Développement (AFD) sur le renforcement de la chaine de recette via la numérisation de l’interconnexion de l’Administration Financière.
Par ailleurs, les activités minières se sont bien comportées et voire sur le marché international où, les prix des métaux produits en RDC, continuent à augmenter à l’exception de l’or. Quant au cuivre, le prix est passé à son plus haut niveau depuis plus de 8 ans. JPS
La vaccination des personnes à haut risque contre Ebola a commencé mardi en Guinée, alors que la réponse d’urgence a été renforcée afin d’éviter la propagation du virus qui est réapparu dans le pays il y a un peu plus d’une semaine, pour la première fois depuis 2016, a annoncé l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
« La dernière fois que la Guinée a été confrontée à une épidémie d’Ebola, les vaccins étaient encore en phase de développement », a déclaré le Directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Avec l’expérience et l’expertise acquises, combinées à des vaccins sûrs et efficaces, la Guinée dispose des outils et du savoir-faire pour riposter à cette épidémie ».
« L’OMS est fière de soutenir le gouvernement pour impliquer et responsabiliser les communautés, pour protéger les agents de santé et autres travailleurs en première ligne, pour sauver des vies et fournir des soins de haute qualité », a-t-il ajouté.
La vaccination a été lancée à Gouécké, la communauté rurale de la préfecture de N’Zérékoré où les premiers cas ont été détectés le 14 février, en présence du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique de la Guinée, le Général Rémy Lamah, du Coordinateur Résident des Nations Unies, Vincent Martin, du Représentant de l’OMS en Guinée, Dr Georges Ki-Zerbo, et du Représentant de l’UNICEF en Guinée, Pierre Ngom.
La vaccination se fera suivant la « stratégie de la ceinture ». Cette stratégie établit que les personnes qui ont été en contact avec un patient atteint d’Ebola soient vaccinées, ainsi que les agents de santé et les autres travailleurs en première ligne. La campagne a ainsi débuté par la vaccination des agents de santé.
La vaccination a commencé tout juste 24 heures après que la Guinée a reçu plus de 11.000 doses du vaccin anti-Ebola rVSV-ZEBOV, envoyées par l’OMS depuis son siège à Genève.
De plus, l’OMS organise le déploiement de plus de 8.500 doses du vaccin de Merck, producteur du vaccin aux États-Unis, ce qui amène le nombre total de doses attendues à 20.000 pour la phase initiale de vaccination.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) fournit un soutien logistique crucial en organisant des vols spéciaux pour transporter les vaccins et d’autres matériels de Conakry à N’Zérékoré.
Le déploiement rapide du vaccin anti-Ebola est dû en partie à la capacité de la Guinée qui a été renforcée lors de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014. Environ 50 Guinéens ont aussi été déployés en République démocratique du Congo pour soutenir la riposte du pays lors des trois dernières épidémies d’Ebola. Ils mettent désormais cette expertise à profit dans leur pays.
« La vitesse à laquelle la Guinée a réussi à initier les efforts de vaccination est remarquable et est largement due à l’énorme contribution de ses experts lors des récentes épidémies d’Ebola en RDC », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.
« Les Africains soutiennent d’autres Africains pour riposter à l’une des maladies les plus dangereuses sur la planète : c’est le témoignage de la capacité de riposte d’urgence élaborée au fil des années sur le continent », a-t-elle ajouté.
Mettre en œuvre une stratégie de vaccination contre Ebola est une procédure complexe, dans la mesure où les vaccins doivent être maintenus à une température de moins 80 degrés centigrades.
La Guinée a développé une capacité de chaîne du froid à température ultra-basse avec des récipients réfrigérés, ce qui permet de conserver les doses de vaccin à des températures inférieures à zéro pour une durée pouvant aller jusqu’à une semaine.
Jusqu’à présent, on dénombre huit cas d’Ebola (quatre confirmés et quatre probables) et cinq personnes sont décédées. Le séquençage génomique est en cours à l’Institut Pasteur du Sénégal afin d’identifier la souche du virus Ebola.
Les autorités sanitaires de la Guinée, soutenues par les équipes d’experts de l’OMS et les agences partenaires, appuient la campagne de vaccination et travaillent avec les communautés pour les rallier aux efforts visant à maîtriser le virus Ebola.
Environ 50 experts internationaux et nationaux de l’OMS, y compris des vaccinateurs, sont déjà sur le terrain en Guinée et plus de 100 experts de l’OMS sont attendus d’ici la fin du mois pour se joindre à la riposte et contrôler l’épidémie.
L’OMS a déboursé 1,25 million de dollars pour soutenir la riposte en Guinée et renforcer la préparation à la lutte contre Ebola dans les pays voisins, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Sénégal et la Sierra Leone. Le Fonds central d’intervention d’urgence des Nations Unies (CERF) a aussi mis à disposition 15 millions de dollars pour soutenir la riposte en Guinée et en République démocratique du Congo, ainsi que la préparation dans les pays voisins.
Les voisins de la Guinée sont en état d’alerte et renforcent les mesures de santé publique et la surveillance afin de rapidement détecter et arrêter toute transmission transfrontalière du virus Ebola. N’Zérékoré est la seconde ville la plus peuplée de Guinée et se situe près de la frontière avec le Libéria et la Côte d’ivoire. Avec ONU Info
L’Italie exige des “explications” auprès de l’ONU et du Programme Alimentaire Mondial (PAM), pour pouvoir mieux comprendre les circonstances qui ont occasionné la perte de son Chef de Mission Diplomatique (CMD), à Kibumba, dans la Province du Nord-Kivu, lundi 22 février 2021, et celle de son garde du corps, annonce faite ce mercredi 24 février 2021 par la RFI, dans son édition de 13h30.
La Rédaction
L’irrégularité des trains a perturbé la vie sociale des habitants qui longent la voie ferrée.
Dans la province de Lomami, près de cinq localités dépendaient autrefois du trafic ferroviaire. Ces habitants affirment que les trains facilitaient les échanges commerciaux. Aujourd’hui, leurs conditions de vie se sont détériorées car le passage des trains n’est plus régulier dans sont toutes ces localités.
Le chemin de fer est actuellement organisé en quatre réseaux distincts, à savoir une ligne permettant de relier Matadi et Kinshasa d’une part, ainsi qu’un réseau plus étendu, en liaison avec la Zambie, l’Angola, avec Lubumbashi comme point central.
Plusieurs localités longent la ligne Lubumbashi- Mwene Ditu.
D’après quelques habitants de ces localités, le passage du rail avait bien développé le petit commerce et a permis aux villageois d’élever leur niveau de vie.
« L’ambiance au passage du train était bonne. Tout le monde se réjouit, on échange avec les voyageurs. Nous sommes très curieux. Tout le monde au village debout, tout le monde se sentait à l’aise. On pouvait se rendre là-bas pour payer les histoires et pour vendre ses histoires la bas », regrette Crispin Ilunga, habitant du village de Muadi Kayembe
Les habitants de ces localités témoignent que la suspension du trafic ferroviaire a sensiblement affecté leur vie sociale.
L’irrégularité des trains a été un manque à gagner pour l’entreprise ferroviaire, et aussi pour les paysans. Ils ont développé d’autres alternatives pour évacuer leurs marchandises.
“Nous avons ici la route principale vers Lubumbashi, nous transportons dans les véhicules les taros, les balaies, l’huile de palme, les ananas et nous partons avec ça à Mbuji », explique Dodo Ilunga, habitant de Lusuku.
Le chemin de fer qui est un moyen de transport de masse permet de transporter en une fois plusieurs passagers et des articles divers. Avec Okapi.net
Le Président de la République, Félix- Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, s’est entretenu, mardi 23 février, avec la délégation de la firme sud-coréenne, Cheong Myung, au Palais de la Nation, conduite par son représentant en RDC, le Congolais Arsène KACHOGUE.
Cette délégation a fait part au Chef de l’Etat du finissage de leur projet qui compte plusieurs réalisations en RDC, à savoir, la construction d’une Centrale Nucléaire de 1.000 MW à Kolwezi, d’une Centrale Solaire de 400 MW à Kinshasa, d’une usine de montage des bus de la marque Daewoo, à Songololo, dans la Province du Kongo Central, la réhabilitation et la construction des routes secondaires, dans la ville de Kinshasa.
Le conseiller du Chef de l’État en matière d’investissement, Patrick KONGO, a, au sortir de cet entretien, précisé que le Président de la République, procédera au mois de mars prochain, à la pose de la première pierre de l’implantation de l’usine de Daewoo à Songololo, notant que ces travaux ne dureront pas plus d’une année.
La délégation sud-coréenne était composée de JU JUGWAN et CHAGANG MOUK PARK et de Mme LEE YEHONEE, respectivement patron du consortium Ceo Cheong Myung, partenaire du constructeur automobile Daewoo et directrice marketing de ce consortium. JRM
La RDC s’engage désormais à réglementer le déplacement de tous les diplomates en poste, à Kinshasa et d’assurer leur protection en vue d’éviter des surprises désagréables dans l’avenir.
Cette décision a été prise ce mardi 23 février 2021, lors d’une importante réunion tenue sous la houlette du Président de la République, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.
La patronne de la diplomatie congolaise, Marie NTUMBA NZEZA, a précisé qu’avant d’effectuer tout déplacement, les diplomates doivent au préalable informer son ministère, qui doit à son tour, intervenir auprès des autorités ayant en charge la protection et la sécurité pour les sécuriser.
Par ailleurs, les corps de LUCA ATTANASIO et de son garde du corps ont été rapatriés en Italie, à partir de Goma.
MNK
Alors que plusieurs pays en développement doivent faire face à un manque d’oxygène pour répondre aux nécessités urgentes de malades de la Covid-19, l’organisation UNITAID estime, à 1,6 milliard de dollars, les besoins globaux de financement pour les 12 prochains mois dans les pays les plus pauvres.
« Ce chiffre sera régulièrement revu par un groupe de travail », a déclaré Hervé Verhoosel, le porte-parole de cette organisation internationale hébergée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). D’autant que les « besoins urgents à court terme des autres pays » seront mesurés et chiffrés dans les semaines à venir.
Outre UNITAID, ce groupe de travail chargé d’améliorer l’accès à l’oxygène regroupe des organisations onusiennes ou partenaires, comme l’OMS, l’UNICEF, le Fonds mondial ou la Banque mondiale. En tant que co-responsables du pilier thérapeutique de l’Accélérateur d’accès aux outils contre la Covid-19 (Access to Covid-19 Tools Accelerator, ACT-A), UNITAID et « Wellcome » pilotent ce consortium de partenaires ayant lancé ce groupe de travail d’urgence sur l’oxygène pour la Covid-19.
Ce groupe de travail a déterminé un besoin de financement immédiat de 90 millions de dollars pour relever les principaux défis en matière d’accès à l’oxygène dans une vingtaine de pays, dont le Malawi, le Nigeria et l’Afghanistan. « Cette première série de pays a été identifiée sur la base d’évaluations coordonnées par le programme d’urgence sanitaire de l’OMS, afin de faire correspondre les besoins des pays avec les bailleurs de fonds potentiels tels que le Fonds mondial et la Banque mondiale », a précisé M. Verhoosel.
La crise sanitaire actuelle a mis sous tension même les systèmes hospitaliers les plus avancés, qui peinent notamment à s’approvisionner en respirateurs artificiels. L’organisme international basé à Genève estime que plus d’un demi-million de personnes ont actuellement besoin de 1,2 million de bouteilles d’oxygène par jour dans les pays en développement.
Parmi ces nations, 25 d’entre elles signalement actuellement des poussées de la demande en oxygène, la majorité en Afrique.
« Depuis le début de la pandémie, l’accès abordable et durable à l’oxygène est un défi croissant dans les pays à faibles et moyens revenus », a fait valoir le porte-parole d’UNITAID, insistant sur la « pression énorme » exercée par la pandémie sur les systèmes de santé, les hôpitaux de nombreux pays à faible revenu manquant d’oxygène.
« Ce qui a entraîné des décès évitables et des familles de patients hospitalisés payant un prix élevé pour les rares réserves d’oxygène », regrette M. Verhoosel.
Bien que l’oxygène soit vital pour le traitement efficace des patients de la Covid-19 hospitalisés, l’accès dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire est limité en raison du coût, des infrastructures et des obstacles logistiques. Les établissements de santé n’ont souvent pas accès à l’oxygène dont ils ont besoin et disposent souvent d’une infrastructure limitée pour fournir de l’oxygène au chevet des patients.
Cette situation est aggravée par les retards logistiques, qui font que l’oxygène arrive trop tard pour sauver des vies. Et pour l’UNITAID, il s’agit donc « d’une urgence mondiale qui nécessite une réponse mondiale ».
Dans ce combat pour l’accès des bouteilles aux pays en développement, l’objectif est de mettre les pays en contact avec des partenaires financiers pour évaluer leurs besoins en oxygène. Il s’agit aussi de soutenir l’achat et la fourniture d’oxygène, ainsi que de produits et services connexes.
Le groupe de travail a également pour mission de répondre au besoin d’interventions innovantes en matière de structuration du marché et de renforcer les efforts de sensibilisation pour souligner l’importance de l’accès à l’oxygène dans le cadre de la réponse à la crise sanitaire mondiale. Avec ONU Info